Vous êtes sur le point de déployer un nouvel outil pour structurer vos process, mieux suivre vos prospects ou renforcer la relation client ? Félicitations. Mais entre nous, ce n’est pas l’outil en lui-même qui fera la différence. C’est surtout l’équipe qui va vous aider à le mettre en place.
Car un projet de ce type, ce n’est pas juste une histoire de logiciel. C’est une transformation qui touche vos méthodes de travail, vos équipes, et votre façon de piloter l’activité. Pour que tout se passe bien, le choix du bon partenaire est aussi important que celui de la solution.
Alors comment s’assurer de ne pas se tromper ? Voici 7 critères concrets pour faire le bon choix et poser les bonnes bases dès le départ.
1. S’assurer que l’équipe est vraiment pluridisciplinaire
Un projet CRM touche vos process commerciaux, vos données, vos reporting, parfois même vos RH. Il mobilise des compétences métiers et techniques, côté client comme côté prestataire.
Dès le début, assurez-vous que l’intégrateur avec qui vous échangez s’appuie sur une équipe complète. Vous devez pouvoir compter sur un ou une consultant·e qui comprend vos enjeux terrain, un·e architecte qui pense à l’évolutivité de la solution, et un·e développeur·se capable de s’adapter à vos cas d’usage spécifiques. Sans ça, difficile d’aligner l’outil avec vos réalités du quotidien.
Chez Guimini, on s’engage toujours avec une équipe resserrée mais complète, qui travaille en étroite collaboration avec les vôtres, du démarrage à la mise en production.
2. Vérifier que l'intégrateur CRM connaît votre solution… et votre secteur
Chaque plateforme a ses spécificités. Chaque métier aussi. Et ça change tout.
Un cabinet qui fait “du CRM en général” ne pourra pas vous apporter la même profondeur qu’un intégrateur certifié sur la solution que vous avez choisie (Salesforce, HubSpot, Dynamics...). Idem pour l’expérience métier : les besoins d’une équipe commerciale B2B dans l’industrie n’ont rien à voir avec ceux d’un cabinet de conseil ou d’un acteur de la santé. La connaissance de votre secteur (banque, énergie, services, etc.) est un vrai plus. Elle permet d’avoir les bons réflexes et de vous faire gagner du temps.
Demandez des références concrètes, dans votre secteur si possible. Et surtout, regardez si les interlocuteurs connaissent les vrais enjeux derrière vos demandes.
3. Privilégier une équipe qui prend le temps de vous écouter
Un bon partenaire ne vous impose pas une méthode toute faite. Il prend le temps de comprendre vos contraintes, votre niveau de maturité, vos objectifs à court et moyen terme.
Si vous sentez qu’on essaie de vous vendre un modèle déjà prêt, posez-vous la question : est-ce que la solution sera vraiment alignée avec mon organisation, mes process, mes équipes ? Un CRM doit s’adapter à vous, pas l’inverse.
L’écoute, c’est la base pour concevoir une solution qui fonctionne au quotidien.
4. Chercher une vraie posture de collaboration
Le bon partenaire, c’est celui qui travaille avec vous, pas à côté de vous.
Un projet de mise en place (ou d’évolution) d’un CRM ne peut pas être mené de façon distante. Il doit impliquer vos équipes, s’appuyer sur leurs retours, s’adapter à leur rythme. L’intégrateur doit être embarqué dans la dynamique du projet, avec la même énergie et la même exigence.
Les meilleurs résultats viennent toujours quand il y a cette proximité de travail. Pas besoin d’être internalisé pour ça, mais il faut qu’à chaque étape, vous ayez l’impression qu’on avance ensemble.
5. Choisir un partenaire qui sait aussi dire "non"
Le rôle de l’intégrateur, ce n’est pas seulement d’exécuter. C’est aussi de vous challenger. Vous avez peut-être en tête une manière de faire, mais il existe souvent des alternatives plus simples, plus évolutives ou mieux alignées avec les usages de la plateforme. Un bon conseil, c’est parfois de remettre en question une demande. Vous voulez un tunnel de validation ? Une automatisation ultra spécifique ? Une refonte complète de vos objets ? Ok. Mais un bon partenaire va d’abord vous demander pourquoi, puis vous proposer une approche qui correspond à votre objectif… et à vos moyens.
La valeur ajoutée d’un expert, c’est justement de vous aider à faire les bons choix. Ceux qui tiennent la route dans le temps. Ceux qui évitent la dette technique. Et ceux que vos équipes sauront utiliser sans mode d’emploi de 45 pages.
6. Évaluer la qualité de la relation humaine et la transparence
On n’en parle pas assez, mais le facteur humain compte énormément. Un projet de ce type dure plusieurs semaines, parfois plusieurs mois. Il faut que ça passe bien avec les personnes en face. Un partenaire fiable, c’est quelqu’un qui vous alerte quand ça coince, qui vous explique les implications de vos choix, et qui s’engage sur des délais réalistes. C’est aussi quelqu’un avec qui vous avez envie de bosser. Parce qu’un projet comme ça, c’est plusieurs mois ensemble. Autant que ce soit agréable.
7. Penser au long terme (et à l’après-projet)
Un CRM n’est jamais un projet “one-shot”. Il va évoluer. Vous allez vouloir ajouter des automatisations, tester de nouveaux outils, faire parler vos données différemment. Peut-être même intégrer de l’IA à votre stack.
Votre partenaire doit pouvoir vous accompagner sur ces évolutions. Pas forcément en continu, mais avec un regard toujours à jour sur la solution, ses nouveautés, et ses meilleures pratiques. Vérifiez qu’il reste en veille, qu’il continue à certifier ses équipes, et qu’il vous proposera des pistes d’amélioration au fil du temps.
En résumé
Bien préparer son projet CRM, c’est avant tout choisir les bonnes personnes pour le faire avec vous. Pas les plus grosses. Pas les plus bruyantes. Les plus adaptées à votre culture, à vos enjeux, et à vos ambitions. Celles qui feront de votre CRM un outil qui vit, qui évolue, et qui soutient vraiment vos équipes.
Chez Guimini, c’est cette approche qui nous anime : comprendre votre besoin, créer ensemble une solution efficace, et vous accompagner bien au-delà du lancement.
Vous réfléchissez à un projet ? Vous avez besoin d’y voir plus clair ? Écrivez-nous, on prend 30 minutes pour échanger avec plaisir.
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