C’est une scène qu’on connaît bien. Après plusieurs semaines d’audit et de simplification, le CRM tourne mieux, les utilisateurs sourient à nouveau… et quelqu’un finit toujours par poser LA question : "Très bien, mais concrètement, on a gagné quoi ?”
Et c’est là que beaucoup d’entreprises hésitent. Parce que mesurer la performance d’un Salesforce, ce n’est pas si évident. Ce n’est ni une impression, ni un “ça va mieux”. C’est une démonstration mesurable. Et bonne nouvelle : elle existe.
L’audit, ce n’est pas une fin. C’est un point de départ.
Faire un audit Salesforce, c’est un peu comme aller chez le médecin. Le diagnostic, c’est utile. Mais ce qui compte, c’est le traitement et surtout les progrès qu’on peut constater après.
Un bon audit doit toujours s’accompagner d’un suivi de performance : avant / après, chiffres à l’appui. Sinon, on reste dans le ressenti. Et le ressenti, c’est le meilleur ami de la dette technique (“non mais c’est normal, c’est toujours un peu lent…”).
Comment mesurer un Salesforce “en meilleure santé” ?
Il y a trois axes à suivre pour prouver que votre org a réellement gagné en performance : technique, utilisateur, et business.
1. Les indicateurs techniques : le souffle du CRM
Ce sont les plus concrets. Après un audit et un nettoyage, on observe généralement :
- une réduction du temps moyen de chargement des pages (souvent divisé par deux),
- une baisse du nombre d’erreurs et de logs Apex,
- une diminution du poids des flows exécutés simultanément,
- et une amélioration de la stabilité globale du système.
Ces données se mesurent via les outils de monitoring Salesforce, les logs, ou des outils tiers d’observabilité (New Relic, Copado, etc.). L’idée n’est pas de tout traquer, mais de quantifier la différence entre un CRM qui respire et un CRM sous tension.
2. Les indicateurs d’usage : le test de réalité
On peut avoir le CRM le plus rapide du monde… s’il n’est pas utilisé, le gain est nul.
Les indicateurs d’adoption sont donc essentiels :
- taux de connexion et fréquence d’usage par profil,
- volume de données saisies (opportunités, leads, tickets),
- réduction du taux d’erreurs manuelles (validation, doublons),
- temps moyen passé sur les tâches clés.
Ces chiffres disent la vérité sur la transformation : un CRM fluide se voit dans la façon dont les gens reviennent l’utiliser. Un administrateur peut le confirmer : quand les équipes arrêtent de dire “Salesforce me ralentit”, c’est que l’optimisation a porté ses fruits.
3. Les indicateurs business : le vrai retour sur investissement
Le but d’un Salesforce performant, ce n’est pas d’être beau, c’est d’être rentable. Après une refonte ou un audit, on mesure souvent :
- une augmentation du taux de conversion (moins d’erreurs, plus de réactivité),
- une réduction du cycle de vente,
- une meilleure fiabilité des prévisions commerciales,
- une plus grande cohérence des données marketing ↔ sales.
Ces résultats se lisent directement dans les dashboards. Et quand le CEO voit une courbe monter, il n’a pas besoin de formation Salesforce pour comprendre que l’investissement est rentable.
Le secret d’une bonne mesure, c’est la comparaison. Avant un audit, il faut capturer une photo de l’existant : temps de chargement, erreurs, taux d’usage, satisfaction utilisateur. C’est votre “avant”.
Une fois la refonte faite, on refait la même mesure. Et on confronte les deux. C’est simple, mais redoutablement efficace. Parce que la performance ne se prouve pas en disant “ça marche mieux”, elle se prouve en montrant “voici ce qu’on a gagné”.
Guimini intégrateur Salesforce, la performance se mesure en confiance
Chez Guimini, on ne parle pas de “CRM plus rapide”. On parle de CRM qui sert mieux les équipes, qui coûte moins cher à maintenir, et qui fait gagner du temps là où ça compte.
Chaque mission d’audit s’accompagne d’un tableau de bord de performance avant/après. On y mesure la technique, l’usage, et les résultats business. Parce qu’un CRM, c’est comme une machine : si on l’entretient bien, il dure. Et quand les utilisateurs disent “ah, enfin, ça marche”, on sait qu’on a fait plus qu’optimiser un système. On a réconcilié une équipe avec son outil.
En résumé : un CRM performant, c’est un CRM qui respire
L’audit Salesforce n’est pas un rapport qu’on range dans un dossier. C’est une étape de transformation mesurable, visible, et durable.
Chez Guimini, notre promesse est simple : rendre Salesforce aussi fluide que vos ambitions. Alors parlons-en !

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