Salesforce est souvent présenté comme un moteur de performance. Mais avec le temps, certaines entreprises finissent par constater que ce moteur s’essouffle : le CRM rame, les automatisations se bloquent, les équipes contournent les process, et les décisions prennent plus de temps qu’avant.
Ce phénomène porte un nom : la dette technique Salesforce.
Elle se construit silencieusement, jusqu’à étouffer la fluidité de votre org et miner la confiance des utilisateurs.
Voici les cinq signaux qui ne trompent pas.
1. Votre Salesforce est lent, même pour des actions simples
Quand la création d’un lead ou la mise à jour d’une opportunité prend plusieurs secondes, le symptôme est clair : le système est surchargé.
Les causes les plus fréquentes sont techniques :
- des flux automatisés qui se chevauchent,
- des requêtes complexes non optimisées,
- un code Apex lourd ou redondant,
- ou encore une volumétrie de données mal gérée.
Mais la conséquence est humaine : les utilisateurs perdent patience, interrompent leurs actions, et reviennent vers des outils parallèles (Excel, e-mails, notes).
Un Salesforce lent n’est pas une fatalité. C’est souvent le signe qu’il est temps de mesurer la dette accumulée et d’identifier ce qui alourdit la mécanique.
2. Vos utilisateurs contournent le CRM ou évitent certaines fonctionnalités
Quand un commercial préfère noter son activité dans un fichier plutôt que dans Salesforce, ce n’est pas un manque de discipline. C’est un symptôme.
Cela traduit un manque d’ergonomie ou de cohérence :
trop de champs à remplir, des validations qui bloquent la saisie, ou des écrans qui ne correspondent plus au parcours métier réel.
Plus la friction est grande, plus les équipes développent des stratégies d’évitement.
Et moins les données sont saisies, plus le CRM perd de sa valeur.
L’adoption n’est jamais un problème d’utilisateur : c’est un indicateur de santé du système.
2. Vos utilisateurs contournent le CRM ou évitent certaines fonctionnalités
Quand un commercial préfère noter son activité dans un fichier plutôt que dans Salesforce, ce n’est pas un manque de discipline. C’est un symptôme.
Cela traduit un manque d’ergonomie ou de cohérence :
trop de champs à remplir, des validations qui bloquent la saisie, ou des écrans qui ne correspondent plus au parcours métier réel.
Plus la friction est grande, plus les équipes développent des stratégies d’évitement.
Et moins les données sont saisies, plus le CRM perd de sa valeur.
L’adoption n’est jamais un problème d’utilisateur : c’est un indicateur de santé du système.

.webp)